Je suis passée d’une année à l’autre en compagnie d’un chef-d’œuvre de la littérature, d’un roman classique qui m’a complètement emballé. Si Anna Karénine est souvent comparée à Emma Bovary pour la similiste de destin, elle la devance en panache et en passion. Une fois de plus, je me dis que la littérature russe regorge de beauté et qu’il me faut m’y plonger plus souvent.
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Pour le challenge Gallmeister du mois de mars, le thème était le nature writing. Je me suis donc plongée dans un roman que j’avais acheté à sa sortie, Grizzly de James Oliver Curwood. Classique de la littérature américaine, le roman raconte la rencontre entre deux chasseurs et Thor, un grand Grizzly.
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Il y a des maisons d’éditions dont j’aime tant l’esprit et le travail que je me préoccupe pas de savoir de quoi parlent leurs livres avant de m’y plonger. Les éditions du Typhon sont de celles-là. Je n’ai eu avec eux que de belles expériences. Une chambre au soleil, leur dernière parution, est un roman anglais du mouvement littéraire des Jeunes hommes en colère. Un mouvement que les deux éditeurs affectionnent et s’emploient à mettre en avant.
Lire la suiteAu début du confinement, j’avais du mal à lire. C’est la première fois que ça m’arrivais. J’étais incapable de me concentrer sur une histoire. Au bout de deux semaines, j’ai décidé de ne surtout pas sortir de ma zone de confort et de ne lire que des romans qui allaient m’embarquer de manière certaine. J’ai choisi, inspirée par le numéro de février du Magasine Littéraire, de lire trois romans écrits par des écrivains de l’age d’or américain et qui ont reçu le prix Nobel de littérature. Ce fut un très bon choix car depuis le goût de la lecture m’est revenu.
Le mois d’octobre et les premières teintes d’automne me donnent envie de me plonger dans l’œuvre de Thoreau comme l’an dernier (grâce au défis lancé par Chinouk). Je commence en douceur avec trois petits essais qui montrent chacun le caractére précurseur de l’œuvre de Thoreau en matière d’écologie.
Sous ce titre, les éditions Libertalia regroupe deux nouvelles de Jack London : « Le rêve de Debs » et « Au sud de la fente ». Ces textes parlent de mouvements ouvriers avec malice et critiquent les possédants et le capitalisme.
Mon exploration de l’œuvre de Jack London continue avec cette fois un recueil de nouvelles maritimes. L’auteur a un très grand attachement à la mer et le voyage en bateau fut quelques chose de très présent dans sa vie. Adolescent, rêvant d’aventure, il rejoint les pilleurs d’huîtres de la baie de San Francisco puis, un an plus tard, il entre dans la patrouille de pèche. Ce recueil est très inspiré de ses expériences de jeunesse sur mer.
Jack London a une œuvre assez dense et j’aurais fort à faire pour en avoir une vision exhaustive. Il a écrit énormément de nouvelles pour les journaux de son époque. Libertalia en a publié trois dans sa collection « La petite littérature ». Toutes trois m’ont plu tant pour leurs qualités narratives que pour le message en émanant.
Aujourd’hui commence un nouvelle session du Fémini-books qui durera tout le long du mois de mars. Il s’agit d’une chaîne d’articles et de vidéos qui se relayent pour parler de littérature féministe au sens large. Cet événement est organisé depuis le début par Ninon que vous pouvez retrouver sur sa chaîne Opalyne. Je voudrais pour l’occasion vous parler d’une femme dont la trajectoire m’a touchée et qui en plus est un programme du Reading Classic Challenge ce mois-ci, Zelda Fitzgerald.
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